Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les ponts de Makoko tels que des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre planète et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait stable marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa ciboulard. Chaque matin, avant https://travislhxla.blog-eye.com/34148306/le-marché-des-éloquence